top of page
DSCN1340.jpg
PAPILLON---1_edited.png

PSYCHé-ANALYSES

Accompagnement individuel

Qui est
Baudouin Decharneux ?

PAPILLON---1.png
  • Docteur en philosophie et lettres

  • Historien des religions

  • Maître de recherches du Fonds National de la Recherche Scientifique (FNRS)

  • Professeur à l’Université Libre de Bruxelles (ULB)

  • Membre de l'Académie Royale de Belgique

  • Membre Associé de l’Académie d’Athènes 

Baudouin enseigne dans de nombreux pays européens (France, Espagne, Italie, Roumanie, Grèce), ainsi qu’au Japon, en Afrique du Sud, en République Démocratique du Congo.

 

 

Baudouin Decharneux se définit comme un passionné de l’étude la pensée, de l’âme, de l’esprit. Il est convaincu que la psychanalyse permet d’apprendre à devenir plus humain avec soi-même et avec l’Autre.

À propos
Ryoanji j'apprends à être heureux.png
La psychanalyse est
  • une méthode thérapeutique procédant de soi

  • une façon de se connaître par son propre langage

  • un regard lucide sur soi-même

  • un art de cheminer avec soi et avec les autres

La psychanalyse n’est pas
  • un acte médical

  • une théorie philosophique

  • une réponse à tout

  • une façon de passer son temps

author

Psyché-Analyses

Fondée par Baudouin Decharneux, Psyché-Analyses est un espace voué à la réflexion sur la psychanalyse et à sa pratique.

 

Les personnes désireuses de mener une démarche analytique, peuvent y trouver une approche méthodologique personnalisée. Elles peuvent aussi y suivre des séminaires et conférences pour mieux comprendre et investiguer la psyché (esprit, âme).

Le mot Psyché a été choisi en référence à la mythologie grecque (le mythe d’Eros et Psyché dans le « roman » latin du philosophe Apulée de Madaure).

Psyché y symbolise l’âme, ses craintes, ses peurs, ses peines, ses jalousies, ses amours, ses jouissances, ses joies… Le mythe d’Eros et Psyché, raconté par une conteuse secourable à une jeune fille terrorisée, évoque cette fameuse thérapie par la parole, cette mise en lumière du rapport à l’inconscient et préfigure la psychanalyse et son « efficacité symbolique ».

En pratique

Un être humain, sa pensée, son langage, son histoire, ses récits, est par définition unique. Il n’est aucune psychanalyse qui ressemble à une autre. Il s’agit donc de choisir la meilleure méthode possible.

  • La première, la deuxième séance, débute par un dialogue, où la personne explique au psychanalyste son vécu familial et professionnel, ses ressentis, ses sentiments, son « état d’être »… Cet échange est régi par une éthique de la confidentialité.

  • Selon le ressenti du « patient » (analysant), il choisit le dispositif « classique », divan et associations libres ou de poursuivre sous la forme d’un dialogue.

  • Les séances durent en moyenne entre trente minutes et une heure. L’important est l’écoute, l’échange, le cheminement.

  • Une thérapie idéale nécessite une ou deux séances semaines. La régularité est importante.

  • La situation sanitaire a entraîné des séances psychanalytiques par les outils de communications en ligne. Il est certes important de se rencontrer « en présentiel » ; toutefois, une méthode codifiée « en ligne » peut être mise en place.

  • Il est possible de suivre une « psychanalyse didactique ». Il s’agit d’une psychanalyse classique accompagnée d’une explication progressive de la méthode mise en œuvre. Nul en effet ne peut devenir psychanalyste sans ce travail en profondeur.

L’engagement éthique de Psyché-Analyses

  • Une confidentialité absolue

  • Un suivi personnalisé

  • Une écoute attentive et bienveillante

  • Une disponibilité élargie

  • Un encadrement adapté

  • Un tarif transparent

faq
papillon_blanc.png

Questions classiques et lieux communs

  • N’est-ce pas un « traitement » réservé à une élite ?
    La réponse est non. Si la méthode analytique est liée à l’intellect, chacun est capable d’explorer sa pensée et de clarifier.
  • Ressent-on des effets de la cure rapidement ?
    Si chaque personne est différente, il est assez fréquent qu’un certain bien-être soit ressenti rapidement, voir très rapidement.
  • La psychanalyse s’arrête quand le patient est ruiné…
    Cette idée provient de l’époque où la psychanalyse était « à la mode ». Elle fut teintée de snobisme dans les années 1960-1980. Un prix est fixé lors de la première rencontre. Il va de soi que la cure peut s’arrêter à la fin de chaque séance. Chacun est avant tout une femme, un homme, libre.
  • Les psychanalystes sont incompréhensibles
    C’est hélas parfois vrai. Si on peut accepter des débats entre « spécialistes » qui prennent parfois une tournure très « intello », la pratique analytique n’a rien de « savant ». On peut dire avec un peu d’humour que, comme en bande dessinée, il est d’ailleurs préférable de s’en tenir le plus souvent à la ligne claire.
  • Suis-je hystérique, obsessionnel, pervers, maniaco-dépressif, psychotique…"
    La réponse est simple. Vous êtes vous-même. Les boîtes et autres casiers n’ont qu’une valeur de questionnement (heuristique). Durant la cure, faisons nôtre ce vers de Molière : « laissez la science aux docteurs (savants) de la ville et brûlez ce meuble inutile (Les femmes savantes, Acte II, Scène 7) »…
  • « Je me reconnais dans toutes les pathologies qu’on décrit sur les livres et sur les sites… »
    C’est bien « normal ». Nous sommes un peu tout à la fois. Laissons à notre langage le soin de mettre en lumière notre origine et notre originalité. Ne plus être étranger à soi-même, reconnaître l’étrange en nous, est plus intéressant que de s’imaginer empilant toutes les pathologies du monde.
  • La psychanalyse est-elle la seule méthode thérapeutique de l’esprit ?
    Certainement non. Elle est une méthode parmi d’autres. Croiser les méthodes peut être une richesse, si toutefois ceci ne se transforme pas en « shopping » psychologique. La psychanalyse n’a pas la prétention de « guérir » au sens médical, elle a pour vocation de comprendre. Elle pourrait se reconnaître dans l’idée de Spinoza qui suggérait que l’humain est libre quand il sait en quoi il est déterminé.
  • Le psychanalyste est « contre les médicaments »
    Si tel est le cas, c’est une faute déontologique grave. Si le psychanalyste n’est pas docteur en médecine, il n’a pas à se positionner en la matière. Tout symptôme nécessite une consultation médicale. Prendre soin de son corps, prendre soin de son esprit… mesurer qu’ils sont les facettes d’une même personnalité. C’est aussi une partie du chemin.
  • La psychanalyse explique tout par le sexe…
    S’il est exact que la psychanalyse tient le caractère sexué des personnes comme essentiel, on confond souvent la sexualité (au sens de l’adulte ayant des relations avec un partenaire) avec la libido. C’est la force vitale qui est en nous qui est ici un enjeu et en jeu.
  • Les thérapies courtes sont plus efficaces !
    C’est une question de choix. Ils ne sont d’ailleurs pas exclusifs…
Le cadre concret de
psycHé-analyseS
  • un cabinet se situant à Lasne en Brabant-Wallon

  • un accès aisé (route de l’État) et une aire de parcage privative

  • un espace ouvert et chaleureux

  • un lieu calme et « au vert »

  • un horaire flexible (rendez-vous possible en journée, en début de soirée, le samedi matin)

papillon_blanc.png
Nos convictions
  • La psychanalyse vise l’amélioration de la qualité la vie psychique

  • La psychanalyse est un art de vivre

  • La psychanalyse est une ouverture au monde

  • La psychanalyse consiste à devenir « ami avec soi-même »

  • La psychanalyse est une cure parmi d’autres

  • La psychanalyse nécessite une supervision

bottom of page